Pour la prise d’un premier rendez-vous, par téléphone (0496 51 04 89) ou par email. Les reprises de rendez-vous se font ensuite uniquement par SMS ou à la fin des séances.
Les consultations ont lieu à Mont-Saint-Guibert ou à Bruxelles.
Une séance individuelle dure 50 minutes et coûte 70 €. Le paiement peut se faire en liquide ou via une application bancaire.
Pour les consultations en couple, nous pouvons parfois avoir besoin de plus de temps. Dans ce cas, une séance de 1h30 est proposée au tarif de 100 € — nous en discutons ensemble lors de la première rencontre, selon vos besoins.
Certaines mutuelles prévoient un remboursement partiel pour un nombre limité de séances de psychothérapie. Cependant, les conditions varient fortement d’une mutuelle à l’autre. Je ne suis pas psychologue, et cela peut être un critère de refus pour certaines mutuelles. D’autres, en revanche, acceptent le remboursement sur la base de la loi de 2016 encadrant la psychothérapie, ou reconnaissent mon certificat européen de psychothérapeute. Malheureusement, il n’existe pas de règle générale, et cela peut prêter à confusion. Je vous invite à vous renseigner directement auprès de votre mutuelle, en leur précisant ma profession (psychothérapeute) ainsi que mes affiliations, pour connaître les conditions précises de remboursement dans votre cas.
Je suis reconnue par l’Association Belge de Psychothérapie (ABP-BVP), je suis titulaire du Certificat Européen de Psychothérapie (CEP), délivré par l’Association Européenne de Psychothérapie (EAP) et Analyste Transactionnel Certifiée dans le champ psychothérapie (CTA).
Les séances commencent à l’heure convenue. Si vous arrivez en retard, la séance est écourtée en conséquence.
En cas d’annulation ou de changement de rendez-vous, je vous demande de me prévenir par SMS ou téléphone au moins 48 heures ouvrables à l’avance. Passé ce délai, un montant de 40€ est demandé.
Une séance non annulée ou manquée sans prévenir est due dans son intégralité.
De mon côté, je m’engage également à vous prévenir à temps si je dois annuler ou déplacer un rendez-vous.
Ces règles font partie du cadre thérapeutique : elles contribuent à la fiabilité du lien, au respect de votre engagement et à la continuité du travail. Il soutient l’engagement dans le processus thérapeutique.
Pour que le travail thérapeutique puisse vraiment porter ses fruits, il est important de s’y engager avec une certaine régularité. Je recommande généralement une séance par semaine, ou au minimum toutes les deux semaines. Ce rythme soutient la continuité, la sécurité du lien, et permet d’avancer en profondeur, à votre mesure.
La durée d’une thérapie varie d’une personne à l’autre. Il n’y a pas de règle fixe. Cela dépend de vos besoins, de vos attentes, de votre rythme. Vous êtes libre d’interrompre à tout moment, et si cela devient une question importante pour vous, nous pourrons en parler ensemble. Mon souhait est que vous vous sentiez acteur·rice de votre chemin.
Oui, absolument. Le cadre de la thérapie est un espace confidentiel et protégé. Je suis tenue au secret professionnel et je respecte la charte d’éthique de l’Analyse Transactionnelle et l’International Voice Dialogue Agreement. Cela signifie que tout ce que vous partagez ici reste entre nous. Vous pouvez parler librement de ce qui vous préoccupe, sans crainte d’être jugé·e ou exposé·e.
Non, vous n’avez pas besoin de prescription médicale pour venir consulter. Vous êtes libre de rencontrer la personne de votre choix.
Non, il n’y a pas de divan. Mon approche n’est pas celle de la psychanalyse classique. En psychothérapie, les séances se déroulent généralement en face à face, et nous sommes tous les deux assis dans des fauteuils, ce qui favorise un échange plus direct et une relation plus égalitaire. Selon vos besoins, je pourrai aussi vous proposer certains exercices corporels simples, mais toujours adaptés à ce que vous vivez et ressentez.
Non, bien sûr. Vous avancez à votre rythme, et c’est tout à fait respecté dans l’espace thérapeutique. Il n’est jamais obligatoire de tout dire, surtout si certaines choses vous semblent trop sensibles au départ. Cela dit, il est bon de savoir que ce que vous choisissez de ne pas aborder peut parfois influencer la progression du travail. Nous construisons ensemble un climat de confiance qui, petit à petit, rend possible l’expression de ce qui a besoin d’être entendu.
C’est tout à fait normal, surtout au début. Il n’y a pas de bonne ou de mauvaise manière d’être en thérapie. Le silence peut aussi être une porte d’entrée vers quelque chose d’important. Nous pouvons partir de là, ensemble, et laisser émerger ce qui a besoin d’être dit ou ressenti.
Oui, il arrive que certaines prises de conscience soient touchantes, remuantes ou déstabilisantes. C’est une partie naturelle du chemin thérapeutique. Mon rôle est de vous accompagner avec respect et douceur dans ces passages, et de créer un cadre suffisamment sécurisant pour que vous puissiez traverser ces moments à votre rythme.
Parfois, les effets de la thérapie se manifestent subtilement : une émotion mieux accueillie, une situation vécue autrement, un regard nouveau sur soi. D’autres fois, le changement peut être plus net. C’est un processus vivant, souvent progressif. Ensemble, nous pouvons prendre le temps de faire le point sur ce que vous ressentez et sur ce qui évolue pour vous.
